 |
L'Echo
d'Eloie
Illustré |
Numéro
1
Septembre 2001 |
|
|
 |
|
Le
magazine de la vie du village,
de son histoire et des
Eloyens |
 |
|
|
|
|
 |
Eloie, petit descriptif
Portraits
... Jules Oriez 
... Armand Jund  
Eloie et son histoire
Vie du village  
Etat
civil et Agenda  |
Retour
à
la collection des
«L'Echo d'Eloie
Illustré»
 |
|
|
|
|
|
|
Rédaction
Commission information,
Mairie d’EIoie
Eric Walter, Président
Marie-Pierre Chenel
Charlotte Zilliox
Dominique Gaspari
Jean Zilliox
|
Merci
à
-
Michel Oriez, Maire d'Eloie
-
Armand Jund
-
Yves et Marcelle Armando,
pour leurs informations
-
Céline HaIm et Sophie
Jésus, secrétariat de Mairie, pour leur disponibilité
|
|
|
Crédit
photo : Eric Walter et collections privées.
Autres sources
: Archives unicipales, Revue "Eloie, notre village". |
|
|
|
|
ELOIE |
|
|
 |
|
|
Petit
descriptif |
|
|
|
|
Village
charnière entre la périphérie urbaine de Belfort et
le Pays Sous-Vosgien, Eloie s’étend sur 555 hectares. Son habitat
est un mélange équilibré de maisons traditionnelles
et de pavillons récents.
L’urbanisation d’Eloie
s’est faite sur une zone d’élevage et de culture, enclavée
dans une succession de forêts répondant aux doux noms de VAIVRE,
CHAUME, CHARME …
Tout comme ses villages
voisins, Eloie ne manque pas d’eau, trois rivières le traversent
: le Canal du Moulin, le Verdoyeux et la Rosemontoise, et les étangs
s’y comptent par dizaines.
S’il ne restait
qu’un seul éloyen en 1661, sa population est progressivement passée
de 153 habitants en 1801 à 863 en 2001. Il faut noter que l’évolution
démographique du village est plus marquée depuis 1975, du
fait de la construction de plusieurs lotissements. Tendance qui perdure
aujourd’hui.
Le patrimoine
historique est faible, à l’exception de certaines bâtisses
datant du XIXème voire du XVIIIème siècle, à
l’image de l’école. Cependant, Eloie possède une originalité
unique dans l’Est de la France : un cimetière paysager où
les monuments funéraires sont dispersés dans une petite forêt.
La forte implication
associative est une tradition à Eloie. Une multitude de manifestations
et d’activités culturelles et sportives de qualités sont
proposées tout au long de l’année, à partir de la
Maison du Temps Libre inaugurée en 1986. Jadis, la Chapelle tenait
cet office ! Du repas des anciens aux randonnées pédestres,
de concerts polyphoniques au marché aux puces, ou encore de la grande
exposition de peinture aux rencontres d’auteurs, les rendez-vous festifs
du village sont donc variés.
L’agriculture massive
n’y existe plus, seul l’élevage de bovins et de moutons reste relativement
présent. Les parcelles qu’occupaient, il y a encore dix ans les
vaches laitières sont désormais celles des chevaux.
Une entreprise industrielle
ainsi que des artisans, dont un maître chocolatier, un couvreur et
un bûcheron ont choisi de se développer avec succès
à Eloie. Un antiquaire, une discothèque et un café-auberge
complètent le tableau économique du village. Ajoutons que
son unique café-auberge mitonne de succulentes omelettes.
|
|
|
|
|
|
Retour au sommaire

|
|
|
|
|
|
Portraits |
|
|
|
|
|
Pour ce
premier numéro de « L’Echo d’Eloie Illustré »,
nous avons choisi de rendre hommage à deux anciens Maires du village,
qui par leurs actions, par la durée fort longue de leurs mandats,
ont marqué Eloie : Jules ORIEZ et Armand JUND.
|
Jules
ORIEZ,
|
Chevalier de
la Légion d’Honneur, fut le premier Maire du XXème siècle.
Né en 1873, le 2 avril exactement, il fut le père de 8 enfants.
C’est en 1900, à 27 ans, qu’il devient Maire du village, succédant
à Eugène ZELLER.
A cette époque,
Eloie, village de cultivateurs et d’éleveurs ne compte qu’une trentaine
de maisons abritant 145 âmes, 25 d’entre elles seront victimes de
la grande guerre.
En 1911, Eloie est
touché par la fièvre aphteuse et une partie importante des
bovins de la communes sont contaminés. Des dizaines de vaches et
bœufs meurent. Il faut au plus vite les enterrer. Ce qui amène Jules
ORIEZ et son Conseil Municipal à trouver un endroit suffisamment
vaste pour y déposer les carcasses des animaux. Cet endroit est
situé au niveau du lotissement de « La Charange – Le Verdoyeux
», et sera pendant longtemps réservé à l’inhumation
des bêtes d’élevage ou domestique. D’ailleurs, il n’est pas
rare que les habitants de ce lotissement, au hasard de leur coup de pioche,
butent sur un os quelconque !
Jules ORIEZ fera
voter par son Conseil Municipal un crédit d’aide exceptionnelle
aux éleveurs sinistrés lors de cette épidémie
de 1911.
En 1920, Jules ORIEZ,
soutenu par le Conseil Municipal, interviendra auprès des autorités
militaires afin que cesse les destructions de stocks considérables
d’explosifs et d’obus restant de la guerre de 14/18, dans les bois autour
du village, en particulier sur l’emplacement du champ de tir actuel.
Les habitants se
croyaient revenus en pleine guerre : fenêtres brisées, murs
lézardés, plafonds éventrés !
Les années
d’après guerre voient la vie normale reprendre petit à petit
son cours, on construit la route de Valdoie à Eloie, ainsi que des
ponts. A noter, qu’à cette époque, la commune d’Eloie dépendait
du canton de Giromagny.
L’exploitation du
bois était une importante source de revenus complémentaires
pour le village, et servait notamment à l’étayage des galeries
de la mine de Ronchamp.
En 1933, de grands
arbres sont abattus pour faciliter le passage de la ligne à haute
tension « Ronchamp – La Chapelle sous Rougemont ». Cependant,
l’électricité n’alimentera Eloie qu’en 1948. Il se dit que
certains ne voyaient pas d’un très bon œil la venue de la fée
électricité et sabotaient, la nuit venue, les poteaux électriques
posés le jour…
En 1939,
Jules ORIEZ après 39 ans passés aux commandes municipales
laissera la main à Edmond LEIMBACHER pour quelques mois, puisque
au cours de l’année 1940, le fils de Jules ORIEZ, Marcel, devient
à son tour Maire du village. Une bonne décennie plus tard,
c’est son neveu, André, qui sera élu premier magistrat. Et
Michel, notre Maire actuel, n’est autre que le fils de Marcel et le petit-fils
de Jules !
Durant le long mandat
de Jules ORIEZ, le commerce et l’industrie du village étaient florissants
: épicerie, café, tailleur, charpentier, meunier, etc. Il
y avait également une petite fabrique de limes renommées
dans toute la région, dont on peut en retrouver certaines à
la Forge – Musée d’Etueffont.
Et puis nos anciens
se souviennent encore des goûters de beignets et des gâteaux
aux cerises que Maria, l’épouse de Jules ORIEZ, offrait généreusement
aux enfants du village.

Jules
ORIEZ et son épouse
|
|
|
|
|
Armand
JUND,
|
|
|
est arrivé
vers l’âge de quatre ans à Eloie, et a eu maintes fois l’occasion
de savourer les pâtisseries de Maria ORIEZ. Né à Belfort
un 26 octobre, comme un certain François MITTERRAND, mais neuf ans
plus tard. Armand JUND a longtemps vécu auprès de ses parents,
frères et sœurs au 2, Rue des Prés Porchers, dans une maison
dont les murs étaient faits en torchis.
Après l’école
communale d’Eloie, et son certificat d’études en poche, il suit
les cours de l’école pratique du 112, avenue Jean Jaurès
à Belfort où il obtient un CAP d’ajusteur.
Embauché à
l’usine ALSTHOM en 1942, il arrête de travailler deux ans après
pour servir les activités de la résistance. Plusieurs fois
arrêté, il est finalement libéré par l’armée
américaine en 1945. Il reprend son travail à l’ALSTHOM la
même année, et passe avec succès le brevet professionnel
de dessinateur en suivant des cours du soir.
|
Syndicaliste
convaincu et réputé, il fait valoir ses vues en matière
de solidarité dans les rangs de la CFDT pendant plus de 40 ans,
et officie toujours.
En 1959, il devient
secrétaire de la Mairie de notre village tout en conservant son
poste de responsable d’études à ALSTHOM, puis il devient
Maire d’Eloie en décembre 1966, suite au décès du
Maire Jean-Baptiste Ulysse PUTOD. Confortablement élu conseiller
municipal, ses pairs du Conseil Municipal présidé par son
propre père Joseph, le choisissent ensuite comme Maire.
|
 |
Armand
JUND fut un Maire disponible pour tous, toujours dans l’intérêt
général d’Eloie. Grâce à lui, Eloie s’est remarquablement
développé, passant d’à peine 250 habitants au début
de son premier mandat à plus de 850 lors de son départ de
la Mairie. Les constructions de pavillons ont été multipliées
et les espaces naturels (forêt, prés, rivières …) préservés.
Armand JUND a également accru le patrimoine de la Commune en faisant
l’acquisition de terrains, de bâtiments, en forçant parfois
les choses …. Le résultat est positivement là : une école
scolaire moderne, un espace de loisirs conséquent ainsi qu’une Mairie
dont l’aspect fonctionnel est aujourd’hui en passe d’être achevé
par la nouvelle équipe municipale, un cimetière paysager
unique dans la région, lequel pour l’anecdote valu quelques remarques
de la part du Préfet de l’époque, puisque Armand JUND et,
certains de ses conseillers et quelques anciens sont allés eux-même
déterrer les corps de leurs parents défunts, «
originellement » inhumés dans le cimetière de
Grosmagny, pour les rapatrier à Eloie !
C’était une
habitude pour Armand JUND, l’efficacité municipale était
réelle si elle ne s’embêtait pas avec la notion d’académisme.
Estimant sa mission
à la tête d’Eloie menée à bien – et avec raison
– Armand JUND n’a pas souhaité se représenter en Mars dernier,
préférant laisser la place à son fidèle premier
adjoint Michel ORIEZ et son équipe (dont est membre Christine JUND,
sa fille).
|
 |
Mais
il n’en a pas pour autant délaissé la chose publique et le
milieu associatif. Notre chevalier de l’Ordre National du Mérite
(entre autres distinctions) reste un membre actif, comme il l’a toujours
été, de nombreux conseils d’administrations, et demeure à
la disposition de la Commune d’Eloie.
Et comme ce n’est
jamais tout avec Armand JUND, sachons encore qu’il a été
clarinettiste à l’Harmonie de Valdoie, qu’il fut premier de cordée
en montagne, qu’il s’est essayé au pilotage d’avions de tourisme,
qu’il, qu’il … ! |
|
|
|
Retour
au sommaire

|
 |
Balade
dans
le temps |
|
|
|
|
Au
fil des parutions de l’écho d’Eloie illustré, nous allons
tenter de mieux connaître notre village en nous intéressant
de plus près à certains bâtiments publics et à
certains lieux caractéristiques.
|
|
|
|
|
La
petite histoire de la Chapelle |
|
|
|
|
En 1957,
Eloie comptait environ 150 habitants et les paroissiens devaient se rendre
à l’Eglise de Grosmagny pour assister aux différents offices
religieux.
A cette époque,
peu de familles possédaient une voiture et les déplacements
jusqu’à Grosmagny se faisaient souvent à pied.
La nécessité
d’avoir un lieu de culte à Eloie s’impose et les élus cherchent
une solution peu onéreuse, avec le curé de la paroisse de
Grosmagny – Eloie, Edmond FESSELET, figure emblématique et charismatique
dont le souvenir reste très vivace dans la mémoire des anciens.
Une opportunité
se présente, et, sous la houlette de l’ecclésiastique, une
équipe d’éloyens bénévoles se rendit à
PULVERSHEIM, dans le Haut-rhin, pour y démonter un bâtiment
en bois qui avait servi de logement à une famille d’agriculteurs
alsaciens, sinistrés de la guerre de 1939 – 45.
Le démontage
eut lieu à la fin de l’hiver 1956 – 57. Les différents éléments
furent chargés dans un camion prêté par l’entreprise
de transports DUCOTEY – GALLAND, sise à Eloie.
Au cours de cette
opération de démontage, il y eut quelques incidents sans
gravité, notamment la chute d’un panneau qui blessa légèrement
le Maire, Jean-Baptiste, Ulysse PUTOD, très impliqué dans
cette action.
L’édification
de cette construction se fit sur des parcelles de terrains contiguës,
données à la Commune par trois familles d’Eloie : les familles
BAILLY, ORIEZ Joseph et COUCHOT Armand. La preuve qu’à cette époque,
une réelle solidarité liait les habitants de cette petite
communauté rurale.
L’assemblage des
différents panneaux et éléments réalisé,
il ne restait plus qu’à mettre sur le bâtiment le symbole
du christianisme : la croix.
Joseph JUND, père
d’Armand JUND, se chargea de la fabrication d’une croix en fer forgé
et la fixa sur la façade. Cette fois, Eloie avait enfin sa Chapelle.
Il ne manquait plus que le clocher. Ce fut chose faite quelques années
plus tard lors de la première extension du bâtiment scolaire.
C’est en effet, la cloche attenante à l’école publique qui
fut transportée et installée à côté de
la Chapelle sur ses piliers et coussinets d’origine.
Mais …, cette cloche
bien était trop tentante pour les jeunes éloyens et elle
se mit à sonner à tout moment du jour et de la nuit au grand
désarroi de la population.
Pour mettre un
terme à ces espiègleries, on mura l’édifice et la
cloche ne sonna plus de façon intempestive.
Selon la volonté
du curé Edmond FESSELET, cette Chapelle devait être utilisée
prioritairement pour l’exercice du culte, mais aussi comme lieu de rencontres
et de convivialité.
C’est pourquoi,
elle fut régulièrement transformée en salle des fêtes.
On y organisa des repas, des pièces de théâtre ; on
y fêta carnaval, les rois, Noël ; on y joua au tarot, à
la belote, aux dames …
Bref cette salle
fut très appréciée et facilita l’émergence
d’une vie associative très riche, prélude à la construction
de la Maison du Temps Libre, inaugurée en décembre 1985.
N’oublions pas,
qu’entre temps, les lotissements ont poussé comme des champignons
et que la population d’Eloie a fortement augmenté : 447 habitants
en 1975, 695 habitants en 1982. La Maison communale : « Les Courbes
Vernes » donna un nouvel élan à la vie associative.
La diversité des activités proposées par les 14 sections
et le nombre d’adhérents témoignent du dynamisme de l’ASC
Eloie 2002.
Depuis lors, la
Chapelle a retrouvé sa vocation première. Elle est utilisée
pour l’enseignement du catéchisme et la célébrations
des cérémonies liturgiques, au sein de la paroisse de Grosmagny
– Eloie.
|
|
|
|
|
Le
saviez-vous ?
A l’emplacement
actuel des garages de « La Vermontoise », il y avait jadis
le « Café de l’Arbre Vert »,
mais celui-ci était plutôt connu sous l’appellation de «
La Ferme des six fesses » !
Pourquoi ? parce
que trois femmes en étaient propriétaires ….
|
|
|
|
Retour
au sommaire

|
|
|
|
|
Vie
du village |
|
|
|
|
|
|
Nos
sportifs sont à l’honneur |
|
|
|
|
Le 30 juin
2001, à la Maison du temps Libre, à l’occasion de la remise
des
prix du tir sportif départemental, pour la saison 2000 – 2001, Michel
ORIEZ, assisté par son premier adjoint, Henri GIROL, ont eu le plaisir
de remettre une récompense à la jeune Ingrid LHOMME, pour
ses trois titres départementaux.
Ingrid représente
un réel espoir du tir français puisque, outre ses titres
départementaux et inter – régionaux, elle est vice – championne
de France en vitesse et championne nationale par équipe en précision.
|
|
Monsieur
le Maire félicitant Ingrid LHOMME |
Deux semaines
plus tôt, le 16 juin, à Sochaux, c’est Jérémy
LE VAN BAY, 12 ans, qui, grâce à son jeu régulier et
opiniâtre, a été sacré champion de Franche –
Comté de tennis.
On ne peut que dire
bravo à nos deux champions !
|
|
|
|
|
«
Faites » de la Musique |
|
|
|
|
|
|
Plus de
150 personnes étaient présentes pour la première fête
de la musique organisée par l’ASC Eloie 2002 à la Maison
du Temps Libre, le 19 juin dernier. Autant dire qu’elle fut une réussite.
L’école
primaire d’Eloie, l’Ecole de violon de Belfort, le groupe vocal «
Tarentelle » et les musiciens solistes du village ont comblé
avec virtuosité les oreilles d’un auditoire ravi.
|
|
|
|
|
|
Travaux |
|
|
|
|
|
Tout l’été,
les travaux de rénovation extérieure de la Mairie ont été
menés tambour battant sous la maîtrise d'ouvrage de
Gilles BEAUSEIGNEUR
|
|
|
|
|
|
Curiosité |
|
|
|
|
|
 |
Cet
été encore, ici de petites fées, là une Blanche-Neige,
ailleurs des nains de jardin, ont eu la malicieuse idée de se promener,
voire de s'égarer dans le village. Par quel prodige ?
Mystère
... |
|
|
|
|
|
8ième
Salon de Peinture d'Eloie |
|
|
|
|
 |
Une
nouvelle réussite que ce cru 2001 de l'exposition annuelle de peinture.
Ernest Oriez et toute son équipe de la section Art Plastique de
l'ASC Eloie 2002 ont mis le coeur à l'ouvrage, c'est certain, pour
que tout le monde apprécie les tableaux d'amateurs (?) exposés
les 8 et 9 septembre à la Maison du Temps Libre.
Vivement la
prochaine édition ! |
Invitée d'honneur
: Mme O. Borie Robinet
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Retour
au sommaire

|
|
|
|
|
|
Etat-Civil |
|
|
|
|
|
Naissances
:
{
Alexandre ZEIGER, le 5 janvier 2001 de Eléna GARDELLIN et William
ZEIGER – 54, Rue de Valdoie
{
Sami SEBAIHI, le 16 juin 2001 de Noria TEBACHE et Brahim SEBAIHI – 26,
Chemin de la Vaivre
{
Marius WALTER, le 8 septembre 2001 de Nathalie HENRY et Eric WALTER – 21
bis, Grande Rue
Mariages :
Célébré
par Armand JUND
{
Ghislaine SAINT-PAUL et Jean CAHUZAC, le 16 mars 2001
Célébrés
par Michel ORIEZ
{
Rosa LOPEZ NOGUERAS et Jean-Marc DELANKIAN, le 23 juin 2001
{
Emilie LEPLAT et Arnaud MARTIN, le 4 août 2001
{
Dominique SENG et Olivier BERNER le 4 août 2001
{
Francine PERRIN et Stéphane CHAPUIS, le 25 août 2001
Décès :
{Andrée
PHEULPIN, le 22 janvier 2001 à BELFORT, à 96 ans
{Gilberte
HEMMERLE, le 30 avril 2001 à BELFORT, à 93 ans
{Raymond
IUND, le 10 juillet 2001 à MULHOUSE, à 79 ans
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Agenda |
@
23 Septembre : Marché aux puces, place Jean Moulin
@
7 octobre : journée choucroute, Maison du Temps Libre
@
13 octobre : inauguration du Chemin de la Chapelle et de la Place Armand
JUND
@
24 et 25 novembre : 4ème exposition – rencontre « Peinture
& Ecriture … et Chocolat », Maison du Temps Libre
@
7 décembre : Fête de la Saint Nicolas, Maison du Temps Libre
@
9 décembre : Sucré – Salé, Maison du Temps Libre
|
|
|
|
|
|
|
|
Retour
au sommaire

|