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L'Echo d'Eloie
Illustré |
Numéro
4
Mars 2003 |
Le magazine de la vie du
village, de son histoire et des Eloyens |
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Vie du village
Hommage
... Hubert Chovrelat
Balade dans le temps ... l'école et l'horloge
Etat civil et Agenda |
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Retour à la collection
des
«L'Echo d'Eloie
Illustré» |
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Rédaction
Commission information
:
Mairie d’EIoie
Eric Walter, Président
- Dominique Gaspari - Bernard Martin - Jean-Claude Meyer - Jean-Louis Seichepine
- Charlotte Zilliox - Jean Zilliox et Michel Oriez, Maire d'Eloie
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Merci à
:
Marinette Chovrelat pour
sa grande disponibilité et sa gentillesse, Geneviève Chovrelat
pour sa participation à la rédaction, René Hennemann
pour le prêt de la photo de classe 1928, René Paris, président
d’Eloie-Zambanéga,
et au secrétariat
de Mairie.
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Crédits
photos :
Pierre Chovrelat, Dominique
Gaspari, Jean-Louis Seichepine, Eric Walter, collections privées.
Photo à la Une
: «La grande allée du cimetière paysager d’Eloie»
E.W.
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Vie
du village |
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Jumelage Eloie-Zambanega
Une délégation
de la section “Jumelage Eloie-Zambanéga” s’est rendue (à
ses frais) au Burkina du 25 novembre au 9 décembre 2002.
Au cours de son séjour
une rencontre amicale et chaleureuse a eu lieu avec les responsables locaux,
les enseignants, les élèves et la population du village de
Zambanéga.
Les autorités
et les enseignants ont manifesté leur reconnaissance et leur gratitude
aux habitants d’Eloie pour l’aide qu’ils leur apportent.
La section “Jumelage
Eloie-Zambanéga” proposera des produits artisanaux du Burkina lors
de l’exposition-rencontre Peinture & Ecriture.
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Fêtes
de Noël
A l’image de
la Mairie, les décorations et illuminations furent méthodiquement
posées un petit peu partout dans le village. La palme revient, certainement,
au superbe clocher de la chocolaterie Dal Gobbo.
Traditionnelle
remise des colis de Noël aux seniors d’Eloie.
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Renée
Toulouse
En janvier dernier,
lors de la cérémonie des voeux de Michel Oriez, Maire d’Eloie,
Renée Toulouse était à l’honneur. Secrétaire
de notre Mairie depuis 1972, Renée Toulouse a, comme l’on dit, fait
valoir ses droits à la retraite. On se souviendra de son dynamisme
communicatif et du plaisir qu’elle avait d’accueillir les visiteurs de
la mairie.
Et quel duo de choc elle
formait avec Armand Jund... !
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Artistes de
talents
A l’instar des
sportifs éloyens - lesquels feront l’oblet d’un prochain article
-, la commune compte de nombreux artistes de talents. Pour preuve, Marie-Jeanne
Oriez-Gauthier a obtenu le 1er prix lors de la dernière exposition
d’Evette-Salbert, et Christiane Lhomme a pour sa part eu une nomination.
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Hommage |
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Hubert
Chovrelat
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C’est
à l’aube de l’automne dernier, que la nouvelle, une funeste nouvelle,
s’est répandue dans le village. Personne ne voulait y croire, mais
il fallait bien l’admettre, le Père Chovrelat n’était plus.
Celui qui incarnait une certaine vie du village, rassembleuse, conviviale,
amoureuse de la nature, à l’écoute et au service des autres,
s’en était allé...
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Hubert, que ses amis
appelaient affectueusement Toto, était le petit dernier d’une famille
de cinq enfants, choyé par tous, particulièrement par ses
deux grandes soeurs, Louise et Simone, il aurait pu avoir la vie facile
d’un enfant gâté. Il n’en fut rien ! Son père meurt
alors qu’il n’a que 4 ans. Hubert se retrouve seul avec sa mère.
Et c’était déjà la guerre, sa maman fait partir Hubert,
âgé de neuf ans, en Suisse comme réfugié de
la Croix Rouge. En 1945, Hubert obtient un certificat d’études.
Et dès 1948, il entre à l’atelier des grandes dynamos d’Alsthom
comme ajusteur-monteur. Efficace et intéressé par son travail,
sa hiérarchie lui confie volontiers des responsabilités.
Ainsi, c’est tout naturellement que Hubert Chovrelat gravit les échelons.
Cependant, les conditions de travail sont déplorables, et c’est
pour des salaires de misères que Hubert et ses camarades peinent
quotidiennement. D’ailleurs, Hubert n’a jamais accepté la moindre
médaille du travail : « que les patrons nous
paient correctement, cela suffira », disait-il
!
C’est au patronage que
Hubert a rencontré Marinette, ils se marieront en 1953. De cette
union naquirent Pierre, dans un chou et Geneviève, dans une rose...
Du moins, c’est ce qu’il leur a raconté ! Hubert était
d’une grande disponibilité pour les siens, mais aussi pour les autres,
amis, voisins, ou l’inconnu de passage. Il racontait les étoiles
à ses enfants, les emmenait aux champignons, aux mûres, à
la pêche...
Et puisque sa devise
était « aide-toi, le ciel t’aidera »,
Hubert Chovrelat a entrepris ce dont il rêvait, une maison. Une maison
qu’il a fait sortir de terre, en la montant pierre par pierre de ses mains,
de belles mains de travailleur et avec une volonté implacable. Il
commença par construire sa bétonnière, puis alla chercher
le sable à la rivière, cassa à la masse les pylônes
pour on récupérer la ferraille, avec l’autorisation des services
concernés auxquels il a donné des idées... Trois ans
de labeur acharné, une partie de la journée à l’Alsthom
et l’autre à la maison ! Enfin, en juin 1973, c’est
l’arrivée à Eloie.
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Hubert Chovrelat
fer de lance du char représentant Eloie lors de la Fête du
pays Sous-vosgien en juin 1981
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La vie du village
lui plaît bien, il s’y intéresse, y participe et est élu
conseiller municipal. Adjoint du Maire Armand Jund, il s’investit notamment
dans la commission travaux, s’occupe des festivités - feux de la
Saint-Jean, 14 juillet, fête du pays sous-vosgien -. Chacun dans
le village sait qu’il peut compter sur le Père Chovrelat, toulours
prêt à rendre service. Hubert fait son jardin, plante et mange
ses légumes, élève des lapins, nourrit des canards
sauvages, du coup ils élisent domicile sur le Verdoyeux qui passe
tout près de la maison... Tout va pour le mieux !
Mais fin 1981, le verdict
tombe, Hubert apprend qu’il a un cancer. Le diagnostic des médecins
est réservé, il est gravement atteint. C’est une autre bataille
qui commence. Certains le culpabilisent parce qu’il fume, mais ils ne pensent
pas à l’amiante. Le copain que Hubert Chovrelat a remplacé
aux travaux extérieurs d’Alsthom meurt peu de temps après
d’un cancer.
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Hubert,
lui, est tiré d’affaire, mais les effets secondaires de la radiothérapie
se font sentir. Fragilisé, souffrant, il ne se plaint jamais. Il
reste le protecteur des siens, il continue à son rythme. Le jardin,
la pêche à la Véronne avec ses amis Jean, Jeannot et
Paul... Il y construit une cabane dans un nid de verdure. Avec eux, il
y passe de sacrés bons moments, il aime cuisiner sur le vieux fourneau
à bois et ouvrir une bonne bouteille... Portant un grand intérêt
pour le sport, il était heureux et fier d’Emilie et Lucie, ses petites
filles, bonnes nageuses comme il l’avait été lui-même
dans sa jeunesse.
Hubert savait que sa
vie ne tenait qu’à un fil, que la grande faucheuse l’épiait.
Cela n’a pas altéré son caractère.
Il avait toujours une
histoire drôle ou une anecdote à raconter à ses proches.
Philosophe, il allait toujours de l’avant, retenant le bon côté
des choses. |
Avec la disparition
de Hubert Chovrelat, c’est un vilain coup porté à l’âme
du village. |
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Balade
dans
le temps |
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Histoire
de l’école d’Eloie en 4 épisodes |
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3ème
partie : de 1885 à 1957 |
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Dans l’Echo d’Eloie
illustré numéro 3, nous avions vu que l’ancienne mairie-école
avait subi très peu de modifications depuis 1885.
La grande guerre de 1914-1918
semble avoir épargné l’édifice public, mais la diminution
sensible de la population qui chuta de 150 habitants en 1912 à 120
en 1922 montre que le village paya son tribut à la guerre comme
la plupart des communes de France. Après le traumatisme provoqué
par ce conflit, la vie reprit son cours normal sans évolution notable
de la population stabilisée autour de 113 habitants jusqu’en 1939.
Les dégâts
dus aux bombardements
Le 23 novembre 1944,
suite à un bombardement, la maison commune d’Eloie subit d’importants
dégâts que Monsieur Marcel ORIEZ, agissant en qualité
de Maire, fit constater par Maître THOIRET, huissier de justice à
Giromagny.
Les fenêtres arrachées,
les murs et les plafonds lézardés, les éclats aux
murs ainsi que la multitude de carreaux brisés cités dans
son rapport témoignaient de la violence des explosions.
Les dégâts
extérieurs furent également considérables :
les volets démolis, le chéneau et le tuyau de descente de
la façade nord détruits, de nombreux fragments d’obus incrustés
dans les murs au crépissage délabré et une centaine
de tuiles à changer.
Suite à ce constat,
Joseph SCHULLER, l’architecte départemental fit établir un
devis estimatif des réparations à effectuer s’élevant
à 107 000 francs.
Le 15 avril 1947, l’entreprise
MONFRINI de Valdoie fut chargée d’exécuter les travaux.
L’aménagement de
la cour
La cour de l’école
située en bordure de la route de Belfort-Grosmagny était
constituée par un petit espace non-clos ce qui à l’évidence
présentait des dangers pour les enfants qui devaient sortir sur
la rue pour se rendre dans cette cour ou aux WC.
Conscient de ce problème,
le Conseil Municipal décide de construire une cour contigüe
à l’école communale.
Le 6 novembre 1956, l’inspecteur
primaire, Monsieur MOSCONI, appuie la demande auprès du préfet
du Territoire de Belfort en précisant que la commune d’Eloie compte
alors 132 habitants et que la classe unique mixte est fréquentée
par 17 élèves.
Le projet présenté
par l’ingénieur des TPE comportait :
1) La construction d’une
clôture munie d’une porte permettant l’entrée des véhicules
et d’un portillon.
2) L’aménagement
du sol de cette cour (135 m²) par un revêtement souple en enrobés
fins.
3) L’aménagement
direct d’un accès depuis la salle de classe à la cour, avec
ouverture d’une porte dans l’ancien local servant d’abri à la pompe
à incendie.
Le devis s’établit
à 450 000 francs.
Le 6 avril 1957, le Conseil
Municipal présidé par le Maire Jean PUTOD, approuve le projet
et demande qu’il soit subventionné au titre des constructions scolaires.
Le Conseil obtint satisfaction
et le 3 iuin 1957, une subvention d’un montant de 388 440 francs fut allouée
à la commune.
Dès lors, les
élèves furent en sécurité à l’intérieur
d’une cour rénovée et close.
Le progrès avançait
à marche forcée.
La période de
fort développement économique appelée «les 30
glorieuses» entraîna une forte demande de logements pavillomaires.
La commune connut alors
une véritable explosion démographique obligeant les élus
à revoir l’aménagement de récole pour faire face à
l’arrivée massive de nouveaux élèves.
Une lois de plus, les
Eloyens, désignés en patois «les Cô d’Elô»
se montrèrent fidèles à la figure symbolique représentée
sur leur blason : un coq en marche sur un pont exprimant la
volonté de progrès et d’évolution de la commune...
(A suivre)
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Ecole d'Eloie
- classe de Mme MATRINGE en 1928
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De gauche à
droite 1er rang assis :
Raymonde DÉCLIDE
- Raymond LEIMBACHER - Odette DÉCLIDE - René HENNEMANN -
Jean MATRINGE - Yolande MATRINGE
2ème rang debout
:
Giselle LEIMBACHER -
Germaine HENNEMANN -
Mme MATRINGE (Institutrice) - Constance TOURNIER - AIbert ORIEZ - Roger
LEIMBACHER - Léon ZELLER
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UN
ARTISAN HORLOGER A ELOIE, EN 1786
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Le 9 avril 1786, un
contrat est passé, pour la réalisation d’une horloge, entre
la communauté de Béthoncourt, de la principauté de
Montbéliard, et Jean FLEURY Maître horloger à Eloie.
Cette horloge doit occuper le clocher du temple bâti entre 1775 et
1778.
Le prix de l’horloge s’élève
à 350 livres, payées par la communauté d’habitants
de Béthoncourt en deux échéances, la première
à la pose de l’horloge et la seconde un an après. Alors que
le contrat du 9 avril fixe un délai de trois mois pour la réalisation
de l’horloge, la pose de celle-ci intervient, le 30 mai 1786, soit à
peine un mois et demi plus tard. Trois cadrans sont prévus à
l’origine et bien que trois emplacements aient été creusés
dans la partie supérieure du clocher, deux cadrans seulement sont
installés.
Leur particularité
tient en ce qu’ils arborent une aiguille unique, celle des heures. On lit
donc l’heure de façon approximative. Le chiffre de la mi-journée
(midi) se trouvant au bas du cadran, on lisait “heure de relevée”,
c’est à dire d’après midi, car à partir de cette heure
l’unique aiguille se relève vers le haut.
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Le mécanisme
de l’horloge, garanti un an par l’artisan, a fonctionné parfaitement
pendant plus de 160 années, comme peuvent en témoigner certains
Bethoncourtois qui se souviennent, encore, avoir lu l’heure dans les années
1950.
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Document
(avec orthographe
d’origine)
“Marché
pour l’achat d’une horloge - 9 avril 1786”
“Marché et convention
est intervenu entre Jean Fleuri d’Eloi en Alsace juridiction de Giromagni
et la Communauté de Bethoncourt de la principauté de Montbéilliard
pour un orloge que l’avant dit Fleuri s’oblige de faire à ladite
Communauté dans l’espace de trois mois à compter de ce present
jour pour la somme de trois cent cinquante livres argent de France que
la Communauté lui livrera la moitié de l’avant dite somme
lorsque l’orloge sera posé et réglé et l’autre restant
de la somme dans un an terme de la garantie de l’orloge.
Ledit Fleuri s’oblige
de fournir tout ce qui est necessaire pour la construction de l’orloge,
les poids les cordages aiguilles et cadran ; ledit Fleuri mettra ou fera
mettre trois cadrans à la tour de l’Église ou l’orloge sera
posé, l’orloge sonnera les heures et les demi heures, et on pourra
remonter l’orloge tous les vingt quatres heures sans que l’orloge pusse
se deranger, les cadrans seront blanc et les heures marqué en noir,
les couleur seront en huile ;
L’avant dite Communauté
s’oblige a fournir audit Fleuri les bois qui seront necessaire pour poser
l’orloge.
Fait double et de bonne
foi en presence des temoins soussigné. La Communauté se reserve
que toutes les pièces seront neuf et que l’orloge, lorsqu’il sera
pôsé souffrira la visite à dire d’experts.
Fait a Bethoncourt le
9 avril 1786.”
(L’artisan et deux témoins
ont signé)
[ Payement : “Le
souscrit Jean Fleury maitre orloger des Loix (d’Eloie) en Alsace, confesse
par cette (présente) avoir reçu des mains du Sieur Jean George
Colin maire et de Léopold Friderich Colin echevin de la communauré
de Betoncourt 125 livres qui fait le restant d’une somme en total de 350
livres, prix convenu entre la dite Communauté et ledit Sieur Orloger
dont quittance à Montbéliard le 11 juin 1787.
Plus cinquante livre
déjà recu si devant ce qui fait la somme de 175 livres de
manière qu’il est satisfait du tout et quitte ladite Communauté.”
Signé:
Fleury ]
(Archives Départementales
du Doubs, EPM355)
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Etat-Civil |
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(arrêté
au 28/02/03)
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Naissances :
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Beyza KAYIR, le 18 novembre 2002 de Huseyin KAYIR et Harzu ERDEM
{
Anaïs VENDEVOGEL, le 7 décembre 2002 de Frédéric
VENDEVOGEL et Myriam Da COL
{
Elora PERRIN, le 30 décembre 2002 de Magali PERRIN
{
Ipek KAYIR, le 21 Janvier 2003 de Ercan KAYIR et Nuray MERCAN
{
Martin LAURENT, le 23 Janvier 2003 de Samuel LAURENT et Frédérique
CLERE
Mariages célébrés
par Michel ORIEZ :
{
FENDELEUR Nicolas et PIREDDA Laure, le 21 Septembre 2002
{
BRILLANT Nicolas et D’AGNILLO Hélène, le 28 Septembre 2002
{
STEIN Benoît et BOUTEILLER Anne-Mee Wha, le 28 Décembre 2002
Décès :
{
Hubert CHOVRELAT, le 26 Septembre 2002 à Eloie, à 71 ans
{
Roger SEYMORTIER, le 27 Novembre 2002 à Belfort, à 63 ans
{
Marie-Yvonne BORNAQUE, le 13 Janvier 2003 à Colmar, à 46
ans
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Agenda& |
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9 Mars :
Après-midi récréative
3ième Age
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22 Mars :
Soirée Jumelage
Eloie-Zambanega
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12 Avril :
Concert de la Chorale
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26 et 27 Avril :
Peinture & Ecriture
@
14 Septembre :
Marche du Canton
@
21 Septembre :
Marché aux puces
@
27 et 28 Septembre :
Salon de Peintures
@
26 Octobre :
Journée choucroute
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16 Novembre :
Salon Sucré-Salé
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Le Saviez-vous ?
12 c'est
le nombre des dernières personnes nées à Eloie, dont
la plupart habitent encore dans notre village. Il s’agit de Marcelle Armando
(née Miehe), Andrée Deporte (née Oriez), René
Henneman (conseiller municipal de 1959 à 1977), Marguerite Jund
(née Oriez), Maurice Meier (conseiller municipal de 1971 à
1977), Gaston Oriez, Michel Oriez (maire de la commune), Robert Oriez,
Annette Prévot, Christian Prévot, Claudine Prévot
et Joëlle Prévot. Marie-Yvonne Bornaque (née Prévot),
récemment décédée, était également
native d’Eloie.
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